Killer party : ?
J'ai entendu il y a deux mois de cela, une grande radio nationale annoncer, un jour de néant politico-financier, la
création d'un nouveau jeu américain sensationnel : des habitants d'une même ville, dirigés par le Capitaine, se livraient une lutte sans merci à grand coup de pistolet à eau et autres subterfuges
assassins.
Indignation, stupéfaction, colère...
Car, si mes sources et ma mémoire sont bonnes, la "killer party" vient bien des USA, faisant suite à un film éponyme, mais au début des années 80'. Et pour y avoir joué il y a bien dix ans de cela, je ne trouvais pas ce jeu excessivement nouveau... Mais passons.
Dans une "killer partie" (prenont le nom français!), le nombre de joueur est démultiplié par rapport à une soirée enquète où les rôles sont déterminés et uniques.
Selon le mode de recrutement (affichages divers, bouche à oreilles, mailing list, durée spéciale pour l'effectuer, possibilité de rajouter des joueurs en cours de jeu)il peut y avoir, en théorie, des centaines de joueurs sur une seule partie.
Le but du jeu reste identique globalement, d'un thème à l'autre:ilfaut éliminer ses concurents. Les raisons divergent, les buts anexes aussi (retrouver un trésor, avoir la mainmise sur tels quartiers, retrouver le savant fou, faire passer la cargaison de drogue,...).
Il peut y avoir deux ou plusieurs groupes en oposition. Et des électrons libres.
Pour le maitre de jeu, la préparation est beaucoup plus importante, puisqu'il faut prévoir des rebondissements sur plusieurs jours, et assurer le suivi de tous les joueurs et le contrôle de leurs actions de jeu ...
Des limites très précises sont fixées et connues par tous, afin de ne pas perturber la vie professionnelle, ni les études, ni le culte des participants par la délimitations de zones et/ou heure "hors-jeu".
Un cahier de jeu, ou site, blog,... permet à tous de suivre l'avancée des missions ou des tueries, et aux plus fortes têtes de venir narguer leurs victimes ou chasseurs. Des rendez-vous de duel sont souvent mis en place par les joueur qui veulent en découdre rapidement.
Action et frisson garantis, pourvu que l'on ai pas peur du ridicule.
" - Bon, tu entres dans le tabac, s'il est en caisse, tu sors en sifflant la Traviata, sinon, heu, la chanson des schtroumpfs, alors moi je lance la farine, toi tu cries "bang bang", comme ça on a notre bombe chimique au poil...
- Et s'il n'est pas seul?
- On se casse par derrière,ni vu...
- Qui veut partir par derrière? BANG BANG, les nazes!
- Et m...! Il est sorti d'où cui-là!
- Allez, c'est le jeu, notre appât a fonctionné.C'est quoi déjà vos petits noms, pour ma "Death Note"? "
Indignation, stupéfaction, colère...
Car, si mes sources et ma mémoire sont bonnes, la "killer party" vient bien des USA, faisant suite à un film éponyme, mais au début des années 80'. Et pour y avoir joué il y a bien dix ans de cela, je ne trouvais pas ce jeu excessivement nouveau... Mais passons.
Dans une "killer partie" (prenont le nom français!), le nombre de joueur est démultiplié par rapport à une soirée enquète où les rôles sont déterminés et uniques.
Selon le mode de recrutement (affichages divers, bouche à oreilles, mailing list, durée spéciale pour l'effectuer, possibilité de rajouter des joueurs en cours de jeu)il peut y avoir, en théorie, des centaines de joueurs sur une seule partie.
Le but du jeu reste identique globalement, d'un thème à l'autre:ilfaut éliminer ses concurents. Les raisons divergent, les buts anexes aussi (retrouver un trésor, avoir la mainmise sur tels quartiers, retrouver le savant fou, faire passer la cargaison de drogue,...).
Il peut y avoir deux ou plusieurs groupes en oposition. Et des électrons libres.
Pour le maitre de jeu, la préparation est beaucoup plus importante, puisqu'il faut prévoir des rebondissements sur plusieurs jours, et assurer le suivi de tous les joueurs et le contrôle de leurs actions de jeu ...
Des limites très précises sont fixées et connues par tous, afin de ne pas perturber la vie professionnelle, ni les études, ni le culte des participants par la délimitations de zones et/ou heure "hors-jeu".
Un cahier de jeu, ou site, blog,... permet à tous de suivre l'avancée des missions ou des tueries, et aux plus fortes têtes de venir narguer leurs victimes ou chasseurs. Des rendez-vous de duel sont souvent mis en place par les joueur qui veulent en découdre rapidement.
Action et frisson garantis, pourvu que l'on ai pas peur du ridicule.
" - Bon, tu entres dans le tabac, s'il est en caisse, tu sors en sifflant la Traviata, sinon, heu, la chanson des schtroumpfs, alors moi je lance la farine, toi tu cries "bang bang", comme ça on a notre bombe chimique au poil...
- Et s'il n'est pas seul?
- On se casse par derrière,ni vu...
- Qui veut partir par derrière? BANG BANG, les nazes!
- Et m...! Il est sorti d'où cui-là!
- Allez, c'est le jeu, notre appât a fonctionné.C'est quoi déjà vos petits noms, pour ma "Death Note"? "